Chaque année, près de onze mille personnes perdent
la vie ou sont grièvement blessées dans un incendie domestique d'origine
électrique. Pourtant, quelques dizaines d'euros suffisent pour
sécuriser son logement. Nos conseils.
7 millions, c'est le nombre de foyers considérés comme "à risque
électrique" selon l'étude de l'Observatoire national de la sécurité
électrique (Onse) publiée par l'association Promotelec. En France, les
deux tiers des logements de plus de 15 ans, vendus entre 2009 et 2011,
présentaient des défauts de sécurité électrique. Pourtant, seuls 2 % des
logements sont équipés d'un détecteur de fumée, contre 98 % en Norvège
et 89 % en Grande-Bretagne.
Par le Blog Brico Deco
7 millions, c'est le nombre de foyers considérés comme "à risque
électrique" selon l'étude de l'Observatoire national de la sécurité
électrique (Onse) publiée par l'association Promotelec. En France, les
deux tiers des logements de plus de 15 ans, vendus entre 2009 et 2011,
présentaient des défauts de sécurité électrique. Pourtant, seuls 2 % des
logements sont équipés d'un détecteur de fumée, contre 98 % en Norvège
et 89 % en Grande-Bretagne.
Obligatoire dès 2015Les
causes des accidents électriques sont multiples : absence de dispositif
contre les surtensions, équipements électroménagers vétustes... Pour
réduire le nombre d'incendies (80 000 chaque année), une loi rend
obligatoire, à partir du 8 mars 2015, la présence d'au moins un
détecteur autonome avertisseur de fumée (Daaf) dans chaque logement.
Qui doit payer ?
Propriétaires
comme locataires, il incombe à l'occupant du logement de financer
l'acquisition du détecteur. Seules exceptions : les logements meublés,
de fonction, sociaux et les locations saisonnières. Les propriétaires
bailleurs devront prendre l'achat et l'installation du détecteur à leurs
frais (décret n°2011-36 du 10 janvier 2011).
Que choisir ?
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Par le Blog Brico Deco
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