Bricolons.fr, la plateforme d’entraide pour les bricoleurs, est tout
simplement née des difficultés d’Arnaud Massé, son créateur, à venir à
bout des travaux de sa maison. « Je cherchais un solution pour faciliter
la vie des personnes comme moi qui ont besoin d’un coup de main sur
leur chantier et en creusant, j’ai pris conscience de l’ampleur du
marché », indique-t-il. « La baisse du pouvoir d’achat rend en effet de
plus en plus difficile l’emploi d’artisans et les gens sont donc obligés
de bricoler eux-même. » Le site permet donc concrètement aux
bricoleurs, quelle que soit la taille de leur chantier, de trouver de
l’aide, des outils et une expertise.
Mais pour ceux qu’Arnaud Massé surnomme « les mercenaires », particuliers ou professionnels qui interviennent sur énormément de chantiers, les briques accumulées sont transformables en euros. « Nous garantissons ainsi d’avoir sur la plateforme une offre en main d’œuvre à la hauteur de la demande. » Afin d’éviter tout risque de travail au noir, les transactions sont alors réalisées via un autre acteur toulousain, Payname, qui garantit que les produits de ces échanges sont déclarés.
Par le Blog Brico Deco
La brique comme monnaie d’échange
Le modèle économique de la société repose sur la vente de briques, qui permettent de rémunérer les personnes qui interviennent sur les chantiers. « Nous avons ainsi chercher à garantir les paiements. Schématiquement, une brique équivaut à un euro », précise Arnaud Massé. Pour les petits bricoleurs, l’usage de la plateforme est gratuit. « Si quelqu’un aide, autant qu’il est aidé, le service demeure gratuit. L’internaute gagne en effet des briques en participant aux chantiers des autres qu’il échange ensuite contre des interventions sur ses travaux. »Mais pour ceux qu’Arnaud Massé surnomme « les mercenaires », particuliers ou professionnels qui interviennent sur énormément de chantiers, les briques accumulées sont transformables en euros. « Nous garantissons ainsi d’avoir sur la plateforme une offre en main d’œuvre à la hauteur de la demande. » Afin d’éviter tout risque de travail au noir, les transactions sont alors réalisées via un autre acteur toulousain, Payname, qui garantit que les produits de ces échanges sont déclarés.
Une levée de fonds en perspective
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